Enseignement supérieur: création des pôles d’excellence au niveau de l’AES
La mutualisation des résultats de la recherche, à travers la création des pôles d’excellence au niveau de l’AES ...
Lors du Conseil des ministres du jeudi 22 Aout 2024, les Nigériens ont appris avec surprise, mais aussi avec enthousiasme, la réduction de 50 % des tarifs des soins de santé à compter du 1er septembre 2024. De plus, la gratuité des accouchements et d'autres prestations, comme la dialyse, dans les centres de soins publics a également été annoncée. Comme pour joindre l'utile à l'agréable, le Ministre de la Santé Publique et de l'Action sociale, dans une note qu'ils leur a adressé, demande aux directeurs généraux des hôpitaux de références et nationaux ainsi que directions régionaux la mise en application du décret fixant les tarifs des prestations des soins dans les formations de sanitaires publiques de la santé.
Cette décision s'inscrit dans la continuité des mesures précédentes, notamment la réduction des prix du carburant sur l'ensemble du territoire nigérien le mois dernier. Le peuple nigérien voit ainsi que les nouvelles autorités, à savoir le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) et le gouvernement de transition, poursuivent leurs actions en faveur des citoyens ordinaires.
À l’approche de la rentrée scolaire 2024-2025, il est probable que le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, dans la même logique, procède à une révision à la baisse des frais de scolarité dans les écoles, instituts et universités publics et privés du Niger.
Cette révision est d'autant plus attendue que ces frais constituent un véritable casse-tête pour les parents d’élèves et d’étudiants, surtout lorsque l’on sait que dans certains établissements privés, les tarifs augmentent chaque année. La Ministre de l'Éducation Nationale, de l'Alphabétisation, de l’Enseignement Professionnel et de la Promotion des Langues Nationales, Dr. Elisabeth Cherif, avait déjà tenté l’an dernier de réguler ces tarifs, mais sans succès. Cependant, elle a récemment signé l’arrêté n°0564/MEN/A/ETP/PLN/SG/DL du 11 juillet 2024, créant un comité ad hoc au sein de son ministère.
Ce comité a pour mission de réfléchir sur les frais de scolarité pratiqués dans les établissements et centres privés d'enseignement et de formation, et de proposer de nouveaux tarifs, si nécessaire.
Bien que plusieurs ministres avant elle aient échoué face à la résistance des promoteurs d’établissements privés, qui justifient les frais élevés par les investissements conséquents réalisés pour offrir un environnement adéquat et un enseignement de qualité, l’engagement du Chef de l’État à améliorer les conditions de vie des Nigériens reste ferme et sans ambiguïté.
Ainsi, en attendant les conclusions du comité du MEN/A/EP/PLN, il est permis d’espérer que le Général Tiani annonce une nouvelle surprise d'ici le 1er octobre, à l'instar des mesures prises dans le domaine de la santé.
L'école Nigérienne: Information Education Sensibilisation
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au-delà de ces raisons officielles et des explications de l'administration en charge du système éducatif de notre pays, il existe d'autres raisons sous-entendues ...
Abdoul Fatah Magagi
28/08/2024 à 15h59Initiative citoyenne et salutaire. Vivement la même initiative dans le secteur éducatif
Baro Bawa Hamissou
29/08/2024 à 10h04Alhamdoulillah
Abdoul hakim abdoulaye
30/08/2024 à 18h41C'est bien fait